Egalité, diversité et respect

Mise à jour le : 03/12/2024

L’université de Bordeaux, nourrie de valeurs humanistes et porteuse d’une politique mettant l’accent sur le bien-être et la qualité de vie, œuvre pour l'égalité de traitement et le respect de la diversité au sein de sa communauté.

Photo : UBeelab 2022 © Arthur Pequin — UBeelab 2022 © Arthur Pequin

Harcèlement, discrimination et violence

La cellule d'écoute, de veille et de signalement (CEVS) est un lieu d’orientation et d’accompagnement des victimes ou des témoins. Elle répond en toute confidentialité aux situations dont elle est saisie et agit pour prévenir et dissuader tout comportement abusif.

Toute personne membre de la communauté universitaire victime de harcèlement, de discrimination ou de violence peut désormais solliciter la cellule via un formulaire de signalement en ligne et bénéficier d’une assistance par email.

Cellule d'écoute, de veille et de signalement (CEVS)

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Contact personnels

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Contact étudiants

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Egalité femme-homme

L’égalité entre les hommes et les femmes est un sujet de société de première importance et un enjeu essentiel pour les universités françaises. Au sein de l’université de Bordeaux, la nomination d’une chargée de mission parité, égalité, diversité a favorisé le développement d’une série d’actions de sensibilisation.

L’université s’est également dotée d’un schéma directeur de l’égalité entre les femmes et les hommes afin que le sexe n’influe plus sur les perspectives de carrière, la qualité de vie au travail ou dans les études.

L’université de Bordeaux est, enfin, au cœur d’un projet européen Redesigning Equality and Scientific Excellence Together (RESET), dont l’objectif est de lever les barrières systématiques et culturelles qui limitent les carrières des femmes dans la recherche et le monde universitaire.

Le nouveau plan pour l’égalité des genres est le fruit d’un travail collaboratif entre les personnels de la communauté universitaire - constitués en comité pour l'égalité des genres - et des partenaires européens.

Il répond aux obligations établies par la Loi de transformation de la fonction publique, et s'aligne avec les attentes de la Commission européenne (Horizon Europe) et de l'ANR en termes de prise en compte des dimensions de sexe et de genre dans la recherche et les enseignements.

Conformément à l'Article L132-9-3 Version en vigueur depuis le 21 juillet 2023 Création LOI n°2023-623 du 19 juillet 2023 - art. 9 (V), l'université de Bordeaux publie son index égalité 2024 (calculé à partir des données concernant les rémunérations sur l'année 2023) :

Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires calculé à partir de la moyenne de la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, à corps, grade et échelon équivalents : 39/40
Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les contractuels calculé à partir de la moyenne de la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, à corps, grade et échelon équivalents : 37/40
Nombre d'agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes rémunérations : 8/20

Score total : 84/100 (pour rappel, l'index 2023 était de 78/100)

Égalité et diversité

L’université de Bordeaux rejette toute forme de discrimination. Elle porte le défi d’offrir un milieu inclusif pour chaque personne et accepte la diversité des profils de la communauté comme une source de richesse pour l’enseignement supérieur et la recherche.

Un climat égalitaire et inclusif est nécessaire à préserver pour favoriser l’échange interculturel et réduire les préjugés et les stéréotypes. Un tel environnement favorise l’augmentation de l’autonomie, de l’engagement et de la motivation, tant pour les membres du personnel que pour la communauté étudiante.

L’université de Bordeaux inscrit sa dynamique dans le cadre des directives européennes de lutte contre la discrimination et du nouveau plan national de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations liées à l’origine (2023-2026). Au prisme de son plan interministériel, l’université s’engage à se doter d’outils pour mesurer la réalité des discriminations et de la haine, mieux éduquer et former, sanctionner les auteurs et accompagner les victimes dans l’environnement universitaire.