Formation
Choisir une formation
Alternance
Formations internationales
Formation professionnelle
Candidatures et inscriptions
S'inscrire à l'université
Suivre sa scolarité
Accompagnement et réussite des études
Étudiants à besoins spécifiques
Orientation et insertion professionnelle
Enrichir et valoriser son parcours
Recherche
Ambition scientifique
Grands programmes de recherche
Réseaux de Recherche Impulsion
Une recherche internationale
Science ouverte
Éthique de la recherche
Structures de recherche
Départements de recherche
Dynamiser ses recherches
Science et société
Collections scientifiques
Innovation
Ambition
Collaborations
LabCom
Ressources
Locaux d'entreprises
Campus
Découvrir les campus
Campus Victoire
Animation et vie des campus
Les associations
Organiser sa vie quotidienne
Les aides sociales et financières
Se restaurer
Citoyenneté étudiante & vivre ensemble
Culture
Sport
International
Ambition internationale
Venir à Bordeaux
Etudiants internationaux
Doctorants internationaux
Enseignants, chercheurs et personnels internationaux
Partir à l'étranger
Mobilité étudiante
Collaborer à l'international
Université
Nous découvrir
Notre histoire
Nos implantations
Notre stratégie
Projets institutionnels
Stratégie immobilière
Université étendue
Nos engagements
Transitions environnementales et sociétales
Organisation et fonctionnement
Composantes de formation
Direction générale des services
Conseils, commissions et comités et leurs délibérations
Documents réglementaires, administratifs et institutionnels
Élections
Travailler à l'université
Elles et ils font l'université de Bordeaux
Honoris Causa
Espace presse
Répertoire d'expertes et d'experts
Contenus les plus consultés
Termes de recherche les plus fréquents
Mise à jour le : 13/05/2022
Frédérique Eynaud est maîtresse de conférences au sein de l’unité de formation des sciences de la Terre et environnement et chercheuse au laboratoire Epoc*. Etudiante puis doctorante à l’université de Bordeaux, elle y enseigne aujourd’hui avec de plus en plus de plaisir à transmettre aux nouvelles générations.
Incontestablement, l’océan coule dans les veines de Frédérique Eynaud. « Mon grand-père était gardien de phare, mon historique familial me rattache très fortement à la mer » raconte celle qui est devenue sans surprise géologue océanographe. Finalement, la jeune femme n’aura jamais quitté l’université de Bordeaux, où elle entre étudiante. « J’ai choisi l’université de Bordeaux car les formations en sciences de la Terre et de la mer y étaient très attractives.
J’ai y ai été recrutée Attachée temporaire d’enseignement et de recherche (ATER) après mon doctorat en paléocéanographie en 1999. La passion de l’océan ma menée vers ce travail d’enseignement et de recherche que je réalise toujours avec le même entrain, augmenté du plaisir quotidien d'un transfert de connaissances vers les étudiants » explique Frédérique Eynaud, également éditrice du journal Revue de Micropaléontologie.
Depuis 20 ans, l’enseignante ne s’est jamais lassée. Au contraire. Elle aime de plus en plus cette part du métier. « C’est extrêmement gratifiant d’être dans la transmission et le partage. Plus j’avance en âge (49 ans) plus je me régale. Transmettre ce qui vous passionne est une vraie chance » confie Frédérique Eynaud.
Alors pourquoi maîtresse de conférence et pas professeure ? « Je n’ai plus cette ambition. Pour moi, la reconnaissance se joue maintenant ailleurs, elle est très liée à la spécificité des disciplines. La micropaléontologie marine (au service des reconstructions paléoclimatiques) est une niche. Notre force est là. L’université de Bordeaux a une bonne réputation en la matière. Cela suffit pour me satisfaire. Il faut continuer à faire ce que l’on fait déjà bien » affirme-t-elle convaincue.
C’est extrêmement gratifiant d’être dans la transmission et le partage. Plus j’avance en âge, plus je me régale. Transmettre ce qui vous passionne est une vraie chance.
« Une université pluridisciplinaire qui rassemble des compétences de pointes au travers de l'ensemble de ses laboratoires et structures d'enseignements, et des compétences rares pour certaines disciplines. Je me sens chez moi au sein de mon laboratoire et de mon unité de formation. Je souhaite que l’université de Bordeaux maintienne l’originalité de ses formations, même si celles-ci peuvent paraitre « peu rentables » à certains yeux, et renforce son positionnement pour les questions touchant aux problématiques environnementales. »
*Environnements et Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux, Unité Mixte de Recherche, CNRS/Université de Bordeaux / Ecole pratique des Hautes Etudes