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Mise à jour le : 09/09/2024
Dans le contexte national d’intensification des partenariats public-privé structurants, le territoire bordelais affiche l’ambition de doubler le nombre de LabCom actifs avec une entreprise d’ici 2029.
Afin de mettre en place des dispositifs pertinents et fonctionnels en cohérence avec les réels besoins prioritaires des parties prenantes (entreprises et académiques), l’université développe une approche qui part de l’écoute de leurs besoins et qui s’appuie sur leurs retours d’expérience.
Les partenariats structurants de recherche public-privé permettent aux établissements de recherche publique d’être des acteurs du développement économique des territoires.
Les LabCom, ces partenariats structurants, sont la résultante d’une relation de confiance, construite dans la durée. Ils incarnent l’une des formes de collaboration les plus abouties entre les établissements de recherche publique et leurs partenaires économiques.
En date du 1er janvier 2024, ce sont au total 24 LabCom qui sont actifs, avec des enjeux politiques et économiques forts.
La mise en place d’un LabCom permet de poser le cadre juridique dans la durée : le fait que les conditions soient définies dans le contrat pour au minimum quatre ans (avec une possibilité de renouvellement) permet de gagner du temps. Il ne sera plus nécessaire de renégocier les termes dans les contrats spécifiques, notamment les enjeux de propriété intellectuelle.
Le contrat doit préciser un programme scientifique détaillé, co-construit entre l’entreprise et le laboratoire. Un porteur scientifique identifié incarne l'animation. Aussi, une instance annuelle de pilotage impliquant les représentants des tutelles du laboratoire doit être organisée. L’animation est alors garante d’une activité scientifique rythmée, avec un suivi dynamique durant toute la durée du LabCom.
Le LabCom permet de formaliser la mobilité et l’engagement des personnels, dont l'accueil de personnels de l'entreprise au sein du laboratoire.
Communiquer sur la mise en place du contrat de LabCom permet d’avoir une meilleure visibilité et d'être reconnu comme moteur de R&D dans une thématique. La mise en place d’un LabCom peut aider à obtenir plus facilement des financements car il témoigne de la solidité et de la structuration de la relation partenariale ainsi que l’existence d’un plan et d’une direction de valorisation claire.
En effet, ce sont des LabCom. La multiplicité des appellations peut être liée aux modalités de financement (exemple : Labcom ANR et chaires industrielles ANR), au nom de réseau déjà existant du partenaire (exemple : le réseau international des "OpenLab" de Stellantis, le "jointlab" de l'Oréal ou les "GIS - Groupements d’Intérêt Scientifique" de Thalès) ou également au nom attribué par certains établissements (exemple : les "laboratoires communs" du CNRS, les "LPA - Laboratoires partenariaux associés" d'INRAE, ou les "EPC - Équipe projet commune" de l'Inria).
#Innovation Plus de 180 personnes présentes à la 1ère édition néo-aquitaine de hashtag#LabComBordeaux, l’événement sur les partenariats public-privé. Cela a pu ouvrir à de nouvelles perspectives pour des hashtag#chercheurs et des hashtag#entreprises de toute taille afin d’amener leur collaboration à un plus haut niveau. Les plénières et regards croisés mettaient en avant l’aventure humaine autour de ce partenariat gagnant-gagnant du LabCom (laboratoire commun) et ont levé les interrogations autour du recrutement et des financements. Les participants aux ateliers collaboratifs ont pu construire ensemble le hashtag#LabCom de demain en soulevant les problématiques rencontrées et en apportant des solutions pour y répondre. 👏 Organisé par l’université de Bordeaux, le CNRS et Bordeaux INP ; un grand merci aux intervenants : Etienne Duguet, Carole Chrétien, Marc Phalippou, Nicolas Dubuc, Cedric Cerna, Thibaud LE NOBLET, Valérie Schurdi-Levraud, Sebastien Lecommandoux, Xavier SCHULTZE, Maylis Chusseau, Clarisse Angelier, Charlyne Quercia, Mikel Morvan, Pierre de Souffron, Hélène Boisserie, Véronique Pallet. hashtag#France2030
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