Formation
Choisir une formation
Alternance
Formations internationales
Formation professionnelle
Candidatures et inscriptions
S'inscrire à l'université
Suivre sa scolarité
Accompagnement et réussite des études
Étudiants à besoins spécifiques
Orientation et insertion professionnelle
Enrichir et valoriser son parcours
Recherche
Ambition scientifique
Grands programmes de recherche
Réseaux de Recherche Impulsion
Une recherche internationale
Science ouverte
Éthique de la recherche
Structures de recherche
Départements de recherche
Dynamiser ses recherches
Science et société
Collections scientifiques
Innovation
Ambition
Collaborations
LabCom
Ressources
Locaux d'entreprises
Campus
Découvrir les campus
Campus Victoire
Animation et vie des campus
Les associations
Organiser sa vie quotidienne
Les aides sociales et financières
Se restaurer
Citoyenneté étudiante & vivre ensemble
Culture
Sport
International
Ambition internationale
Venir à Bordeaux
Etudiants internationaux
Doctorants internationaux
Enseignants, chercheurs et personnels internationaux
Partir à l'étranger
Mobilité étudiante
Collaborer à l'international
Université
Nous découvrir
Notre histoire
Nos implantations
Notre stratégie
Projets institutionnels
Stratégie immobilière
Université étendue
Nos engagements
Transitions environnementales et sociétales
Organisation et fonctionnement
Composantes de formation
Direction générale des services
Conseils, commissions et comités et leurs délibérations
Documents réglementaires, administratifs et institutionnels
Élections
Travailler à l'université
Elles et ils font l'université de Bordeaux
Espace entreprises
Espace presse
Répertoire d'expertes et d'experts
Contenus les plus consultés
Termes de recherche les plus fréquents
Du 06 avril 2023 à 18h15 au 06 avril 2023 à 19h30
Voir le lieu de l'événement
Intervenant : Jérôme Giovinazzo (Laboratoire de physique des 2 infinis de Bordeaux -LP2Ib, CNRS et université de Bordeaux)
Le phénomène de radioactivité a été découvert il y a plus de 120 ans. Néanmoins, le noyau atomique est encore aujourd’hui, un objet très difficile à décrire d’un point de vue théorique. Les importants progrès – des installations (accélérateurs de particules), des techniques de détection, des outils d’analyse et des descriptions théoriques – ont permis de produire et d’étudier en laboratoire un grand nombre de noyaux instables afin d’essayer d’en décrire les propriétés.
Pour les noyaux les plus instables, des phénomènes rares peuvent apparaître, tels que de nouveaux mode de décroissance. C’est notamment le cas, pour des noyaux situés à la limite de cohésion, des radioactivités par émission directe de 1 ou 2 protons. Si ces phénomènes ont été proposés théoriquement dans les années 60, il aura fallu plusieurs décennies de progrès expérimentaux pour les observer effectivement. L’étude détaillée de tels processus, qui sont possibles que par des effets quantiques spécifiques au niveau microscopique, interroge encore aujourd’hui notre compréhension théorique de l’édifice complexe qu’est le noyau atomique.
Cette présentation s’appuie en particulier sur le phénomène exotique de radioactivité 2-protons pour illustrer l’articulation entre les progrès théoriques et expérimentaux en physique nucléaire, et la nécessité d’imaginer de nouveaux outils pour réaliser ces avancées.
Entrée libre et gratuite
Amphithéâtre B18N Université de Bordeaux, Campus Bordes - Tram B - arrêt François Bordes